mardi 27 septembre 2011

Tiens, au fait...

C'est donc la tête dans le brouillard et frustré de ne pas pouvoir lire mon bouquin (la suite tant attendue de ma série, celui dont je vous ai parlé hier) que je me pointe au boulot. Comme d'habitude, pas le goût de voir ces abrutis, mais bon.

Donc bonjour aux garçons avant d'aller voir la second.
Et c'est entre la bise et le "ça va" habituel (même si elle s'en tamponne l'oreille avec une babouche de savoir si je vais bien ou pas) elle sort :
"Au fait, tu prends un partie de mon rayon. C'est le chef qui l'a dit parce que je m'en sors pas"

Donc, bibi est figée sur place, un bug dans sa tête. Puis la douce chaleur de la colère se fait ressentir.
Je respire un bon coup et lui rétorque :
"ça serait quand même sympa d'avertir l'intéressée quand même. Et d'éviter de prendre ce genre de décision quand elle est pas là, hein, histoire qu'elle est son mot à dire".

Et c'est donc dans une colère latente que j'ai passé ma journée de boulot, m'acharnent sur ce pauvre rayon (qui lui n'avait rien fait, c'est pas de sa faute).

Et ce qui m'a le plus tuer, c'est que même en prenant une partie de son rayon, elle est toujours à la bourre!
Et moi qui en chiait comme pas possible avant, là c'est pas mieux, pour le coup.

Mais à à peu près même capacité, j'ai finis avant elle! Ha ha!

Par contre, là où ça m'a vraiment fait "mal", c'est qu'avant le changement des meubles et tout, j'avais une face d'allée pour moi toute seule et j'en bavais tous les matins. Mais j'avais beau me plaindre, demander à ce qu'on m'aide ou qu'on revoie les répartition, que dalle. Mais pour elle, alors là....

Et ils osent me dire qu'on est une équipe...

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