lundi 31 octobre 2011

Lui

Lui. Une part de moi. Sombre, noir.

Lui. Envoûtant, inquiétant. Attirant, repoussant.

Lui, c'est un sentiment, sombre, qui se manifeste parfois, lorsque je suis au plus mal.

Toujours à l'affût, cherchant le moindre doute, la moindre faille pour s'y engouffrer et me faire du mal.

Il est là, je le sens, toujours avec moi, toujours là. Tapis au fond de moi il attend sont heure patiemment. Il sait qu'elle arrivera, tôt ou tard. Il est patient, prenant tout son temps.

Je sens son étreinte, son souffle caresser mon oreille. Je sens ses griffes plantées sur moi. J'entends ces mots qu'il me susurre à l'oreille.

Quand je sombre il est là, toujours, ravis de pouvoir ressortir.

Quelques fois je lutte contre lui. Je m'accroche à une lumière, n'importe laquelle. Je m'y accroche fermement, espérant remonter, ne pas tomber dans ce puits sans fond, dont j'aurais du mal à sortir.
Je ne gagne que rarement et souvent au prix de nombreuses blessures.
Il fait tout pour me tirer vers le bas, m'entraîner dans le noir, les ténèbres, l'abîme.

Il m'attire autant qu'il me répugne. Je l'aime autant que je le hais.
Il fait partit de moi, je ne peux le nier.

Quelques fois je le recherche, me blottit contre lui, dans ses bras et me laisse aller aux ténèbres qu'il crée pour moi. J'écoute ses paroles, les bois avidement.
Il peut être rassurant, chaleureux, mais le prix à payé n'en sera que plus fort.

Je le sens là, tout près, prêt à jaillir et me prendre de nouveau.

Il se nourrit de mes peurs, de mes pleurs, de ma tristesse. Ma colère et ma haine le font rire.

Face à lui je ne suis rien.

Quand il me tient, dans ses griffes ou dans sa gueule, que je n'arrive pas à partir, alors je m'effondre.
C'est violent, c'est brutal. ça fait peur.

Mon Loup l'a vu une fois. Une seule fois et ça lui a suffit.

J'essaye de le contrôler.

J'y arrive quelques fois, mais pas tout le temps.

Et quand j'y arrive pas, alors je vais me cacher, pour pas qu'on me voie comme ça.
Si je peux pas me cacher, alors je me réfugie en moi, tout au fond, et je me laisse aller.

Il est chaud et glacial à la fois.

Plusieurs fois je me suis livrée à lui, sans retenue, sans contrainte, nue.
Je le fais encore quelques fois.

Il fait partit de moi.

Je voudrais qu'il parte mais en même temps je ne veux pas le perdre.

dimanche 30 octobre 2011

Homosexualité

Suite à une discussion de mes collègues, je voudrais réagir sur ce sujet.

Donc, pour elles, être lesbienne (qu'elles appellent "joliment" gouines) c'est sale, moche, contre nature j'en passe et des meilleurs (tout ça parce qu'elles ne comprennent pas ce choix).

Même si je n'ai pas réagit (puisque S refuse de me parler), je n'en pense pas moins.

J'avoue que leur conversation m'a choquée.

Pour moi, être lesbienne ou gay, c'est pas une tare, c'est pas contre nature.

Pour moi, chacun fait ce qu'il veut de son cul, je n'ai pas à juger. Du moment où ils sont correct avec moi ou le Loup, bien évidement.

Je n'ai aucun ressentit pour eux. Ce sont des personnes normales, qui ne méritent pas de différence de comportement. C'est comme si on se comportait différemment, selon qu'on soit blond, rousse, châtain, noir ou blanc.

Et quand j'entends "J'ai jamais vu une telle concentration de gouine dans un endroit su étroit", ça me fait bondir. Surtout que ce n'est que des rumeurs (et on sait tous ce que sont les rumeurs et leur ravages).

Enfin je sais pas moi, parler comme ça c'est un manque total de respect envers elles (ou eux, ça revient au même).

On n'est plus à l'époque où c'était considéré comme une maladie, une tare!

Certains états des Etats-Unis ont même autorisé le mariage gay et en France le PACS permet l'union entre deux personne du même sexe, pour palier au mariage.

Alors des discours comme ça, ça me fou en rogne.

Et quand j'ai parlé avec la stagiaire, pour lui demandé pourquoi elle disait ça, elle m'a juste répondu "C'est sale. Je sais pas mais je les comprends pas. Comment on peut choisir ça?"

Tout ça par incompréhension.

Alors est-ce que j'ai faillit passé de "l'autre côté" ou que ça ne me dérangerait pas, que je réagis comme ça?
Je ne sais pas, mais je trouve vraiment dommage qu'à notre époque, des gens réagissent encore comme ça.

ATTENTION : la deuxième vidéo est susceptible d'offenser/choquer certaines lectrices/certains lecteurs


vendredi 28 octobre 2011

Euh...

Bon aller, pour finir sur une mote assez poillante (pour celles et ceux qui aiment se moquer), je vous propose une vidéo assez, hum, comment dire... suicidaire.

Bref, amusez-vous bien!

Astuce

Une fille m'a donné une astuce pour se sentir mieux avant d'aller dormir.

Noter 5 choses qui ont été positive dans la journée.

ça peut être tout et n'importe quoi, du style il a fait beau, mon thé était très bon, j'ai réussis mon gratin etc...

J'ai essayé hier soir. Et au bout d'un quart d'heure je n'en avait que trois et impossible d'en trouver d'autre.
Mais ça m'a quand même apaisé pour cinq minutes.

Je pense donc continuer jusqu'à ce que ça devienne automatique. Si ça peut me calmer un peu, je dis pas non.

Et c'est repartit!

Je vais vous reparlez boulot. Mais rapidement.

C'est repartit comme il y a quelques mois, S a décidé qu'"on va plus se calculer, même plus se dire bonjour. On va même plus se parler".
Ce  à quoi j'ai répondu "bah, ça changera aps de d'habitude".

Pourquoi ça?

Et bien comme je vous l'ai dit, ça me rend malade d'aller au boulot. Et faut pas me chercher. J4essaye de me calmer dans mon coin pour rester zen et posée.
Mais voilà, quand je parle pas, ne ris pas, je fais la gueule. Donc toute la matiné elle m'a cherché, à me demander si je faisais la gueule, qu'il fallait que je parle, que je souris et tout.

Bref, ça m'a vite gonflé. Parce que la madame ne m'a adressé la parole juste pour me dire d'arrêté de faire la gueule, de sourire et tutti quanti. Sans compter les remarques aux collègues "non mais laisse, elle fait la gueule".

et de les voir à 4 sur un seul rayon presque fini à 7h15 alors que moi j'étais à peine à la moitié du miens, qu'il m'en restais un bon bout et que j'étais seule, ça m'a vraiment mis en rogne. Surtout quand j'ai vu que S allait aidé la second (qu'elle peut pas voir soit dit en passant).

Donc elle m'a posé une question à laquelle j'ai répondu sèchement, je le reconnais. Après elle m'a crié dessus et je lui ai fait remarqué que j'avais quand même le droit d'être de mauvais poil. Sur quoi elle m'a répondut qu'à partir de maintenant, on se parle plus ni rien.

L'ambiance va être super dans le rayon maintenant. Mais bizarement, ça m'a un peu soulagé.

jeudi 27 octobre 2011

Comme une poule...

Qui a trouvé un couteau.

Comme j'en ai marre de venir ici pour me plaindre du boulot, encore et toujours (sérieux, j'ai fait que ça depuis plusieurs jours!), j'ai décidé de vous parler d'une fabuleuse rencontre que j'ai faite hier.

Ne vous attendez pas au prince charmant (ou pas) rencontré par hasard au coin d'une rue, ou autre rencontre magique et féerique. Non, rien de tout cela.

J'ai rencontré une chose merveilleuse, que j'avais jamais vu et qui m'a littéralement faite baver.

Une raboteuse de souche!
Source
Bon, celle que j'ai vu ne correspond pas à la photo, mais c'était pour vous donner un ordre d'idée.

Et oui, je suis restée ébahit devant un tel engin!

Que fait cette chose merveilleuse?
Elle rabote les souches des arbres pour qu'on puisse arracher les racines des arbres afin de planter autre chose.

Et je vous jure que ça dépote!! En moins de deux le plus gros de la souche est réduit en copeaux! C'est franchement hallucinant à voir!

Du coup, j'ai pris mon courage à deux mains et deux pieds (faut au moins tout ça) et je suis aller parler avec le gars (et malgré tout ce courage, j'ai pas osé demander à prendre des photos et une vidéo, je le regrette maintenant).
Il était super gentil et tout, il m'a tutoyé direct alors qu'on se connaissait pas et tout et il a répondu à toutes mes questions sans sourcillé.

J'étais vraiment heureuse!

Et je me suis donc demandée pourquoi j'avais quitté le monde du bois. A voir comme j'étais heureuse à la vue d'une simple machine, je me suis dit qu'il fallait que j'y retourne. ça me manque. C'est mon élément.
Mais c'est une autre histoire.

Tout ça pour dire que la vue de cette raboteuse m'a mis le sourire pour le reste de la journée.

Je vous laisse une petite vidéo pour que vous voyez ce que ça donne. Mais c'est bien plus impressionnant en vrai, juré!


(c'est en gros le modèle que j'ai vu, avec un cache en plus)

mercredi 26 octobre 2011

Pourquoi cette fureur?

Vous vous demandez (ou pas) sans doute  pourquoi toute cette fureur en ce moment.

J'y ai bien réfléchis aussi et j'en suis arrivée à une conclusion (qui vaut ce qu'elle vaut, mais qui me semble la plus juste).

Mais avant, petite rétrospective.

Donc avant j'étais la bourine de base, folle furieuse, mais qui gardait tout pour elle. Absolument tout, je dirais même.
Bref, j'avais appris à tout enfermer derrière une porte, que je fermais à quadruple tour, histoire qu'elle s'ouvre pas.

Mais depuis que j'ai entrepris ma thérapie, cette porte c'est ouverte et ça a complètement foutus le bordel dans ma tête.
Forcément, des souvenirs que j'avais préférer enfouir bien profondément me sont revenus en pleine tête, puissance six mille.
J'ai appris à géré tout ça (il a bien fallut sous peine d'être totalement débordée) mais impossible de refermer cette foutus porte. Ni d'en créer une autre d'ailleurs.

Donc je me retrouve avec pleins d'émotions, certaines violentes, d'autres non, que je dois gérer en plus de celle de tous les jours.

Et donc, ce trop pleins d'émotions finis par me rendre agressive et au final, je prends la moindre réflexion pour moi.

De plus, je sens que je vais pas tarder à passer un cap (je le sens tout proche, mais j'y suis pas encore) dans ma vie, dans ma tête, et ça me rend d'autant plus irritable.

Mais bon, au boulot, même si ça aggrave les choses, ça ne fait pas tout.

Maintenant il faut que j'essaye de me calmer, de prendre du recul et d'attendre patiemment.

La colère et puis...

J'arrive dans une nouvelle phase au boulot.

Une phase violente et ignoble.

Une phase de dégoût et de haine.

Ce matin, comme tous les matins depuis quelques temps déjà, je me lève avec une boule au ventre.
J'ai pas envie d'y aller. Je ne me sens pas bien au boulot. J'ai perdu l'envie d'y aller, j'ai perdu le sentiment d'être contente d'aller bosser, de faire quelque chose de mes journées.

Non, j'ai plus du tout envie d'y aller.

Mais il le faut bien. Faut manger à la fin du mois et y'a les factures aussi.

Je ne suis pas du genre à m'arrêter pour pas grand chose (de toute façon, mon psy voudrait pas m'arrêter). Alors j'y vais, à reculons, mais j'y vais quand même.

Mais je pars toujours en retard (quoique je fasse), ce qui m'oblige à accélérer sur la route (110 au lieu de 90), à être dangereuse pour moi aussi bien que pour les autres.

Ce matin en arrivant, la boule que j'avais dans le ventre s'est manifesté un peu plus. J'avais envie de vomir, j'étais pas bien.

Quand j'ai vu mes collègues dans le rayon, une bouffée de haine, de colère et de dégoût est montée en moi. J'avais qu'une envie, celle de leur éclaté la tête dans le rayon. Avec leur sourires d'ange, leur réflexions à deux balles, leur ignorance à mon égard. Bref, un tout.

J'ai rien dis, non. ça aurait servis à rien, sinon à me faire du tort. Mais j'en pensais pas moins.

Je n'ai pas été rapide aujourd'hui, j'ai presque pris mon temps. J'arrivais pas à avoir mon rythme habituel. Non, je ne me sentais pas la force.

Et cette boule, toujours.

J'ai finis la journée emmurée dans mon silence, à consentir de lâcher trois mots quand on me posait une question. Je leur ai même pas dit au revoir. De toute façon, ils en ont rien à carrer.

Mon chef est pas là pendant une semaine et demis, il est en vacances. La seconde n'est pas là la semaine prochaine. Donc aucune autorité "supérieur" la semaine prochaine.

Je sais ce que ça va être, comment ça va se passer.

Je veux pas y aller.

mardi 25 octobre 2011

Attente

Voilà, mon chef et mon chef de secteur ont proposé un poste à celle que je vais peut-être remplacer.
On attend juste sa réponse.

C'est long!

Et vu que j'ai vraiment envie d'y aller, plus violente sera la déception i jamais elle refuse et veux rester.

De toute façon, j'en peux plus.
Si elle part tant mieux, je prends sa place.
Si elle veut pas, je me tire.

J'en ai marre de me prendre la tête, de presque aps dormir la nuit, d'y penser même les week-end, de me rendre malade pour eux.

Si ça se fait pas, je cherche ailleurs.

Mais bon, il faut attendre sa réponse.

C'est long...

lundi 24 octobre 2011

Un jour, j'y arriverais!

A m'accepter telle que je suis.

A accepter ce corps pas beau, tout flasque et pourris de l'intérieur.
A accepter mes rondeurs, mes seins trop petits, mes grosses cuisses.
A accepter mes hanches larges, mon ventre rebondit.

A m'accepter tout court.

Mais il y a deux choses que j'aime bien. Mes yeux et mes cheveux.
Le reste, si on le pouvais changer....

Mes petits petons
Mes tif'

Lettre

Et voilà, vendredi j'ai finis d'écrire la lettre pour L.

Je ne l'ai pas relue car je sais que je la modifierais, que je la changerais ou que je la déchirerais, pour ne pas l'envoyer.
Car oui, j'ai peur de lui envoyer. De savoir comment elle va réagir. Mais je le ferais quand même.

C'est une longue lettre (5 feuilles double A4 plus une simple) qui lui explique tout ce qu'il s'est apssé, ce que j'ai ressentit et tout. L'écrire ma soulagée, m'a libéré d'un poids.

Je la posterais dès que j'aurais le temps. Il me restera plus qu'à attendre sa réaction.

samedi 22 octobre 2011

Green Lantern

source

Ben franchement, il casse pas des briques, hein. J'ai trouvé ce film assez mal joué. Il ne m'a pas impliqué dans l'histoire. On est juste là, on regarde et c'est tout.
Un manque de sentiments, qui ne rend pas ce film très intéressant et le scénario est prévisible au possible.
Bref, heureusement qu'on n'est pas allé le voir au ciné celui-là.

jeudi 20 octobre 2011

Décision

Au sujet de L.

J'ai beaucoup réfléchit, je me suis retournée le cerveau et j'ai pris une décision.

Je vais lui envoyer une lettre avec, pour contenu, ce que je ressens pour elle, ce qu'il s'est passé entre nous, ce que je suis maintenant et tout. Une longue lettre lui expliquant mon point de vue, mes attentes et mes angoisses vis à vis d'elle.
Une lettre où je vais me lâcher, m'ouvrir à elle.

ça fait un moment que ça me trotte dans la tête, mais je n'ai jamais osé. Là, je sens que c'est le moment.
Alors je vais le faire, si ce n'est aujourd'hui, ça sera dans les prochains jours. Mais je le ferais. J'en ai besoin.

Ce ne sera pas une lettre de rupture, j'ai envie de la garder comme amie. Mais ça sera une lettre explicative, où je dirais bien mon statut vis à vis d'elle et de nous.

Je ne sais pas si elle va l'accepter (la connaissant, oui, mais sait-on jamais). Mais je ne reculerais pas. Il faut que ça sorte, que je crève l'abcès d'une certaine façon.
Je veux lui expliquer tout ça, lui faire comprendre, mais sans non plus l'agresser.

Je préfère une lettre, qui est une sorte d'échappatoire, un intermédiaire pour retranscrire ce que je ne pourrais jamais lui dire en face.

Je sais que je suis incapable de lui parler de tout ça de face. Alors même si c'est un peu lâche, je choisit de le faire par écrit, dans une longue lettre explicative.

Y'a des séances comme ça

aujourd'hui, rendez-vous avec mon retourneur de cerveau.

Une mauvaise séance, où j'ai voulut très fort lui encastrer la tête dans le mur (ou sur le bureau, au choix).
Y'a des séances comme ça...

Mais bon, je vais pas me braquer, ça servirait à rien.

Heureusement que la prochaine est dans longtemps, ce qui va me laisser le temps de me calmer.

mercredi 19 octobre 2011

L'Agent des Ombres

Série en 6 tomes parut et en cours (y'a plutôt intérêt, oui!) d'écriture.

Résumé (du tome 1) :
Afin de conserver l’équilibre cosmique du monde, l’ambassadeur des Ténèbres et l’archimage du Chaos s’allient pour contrecarrer les projets de la Lumière et l’empêcher d’étendre son influence. Ils envoient pour cela Cellendhyll, connu sous le nom de l’Ange du Chaos, chargé d’assassiner un mystérieux haut dirigeant de la Lumière. Mais ce guerrier, autrefois au service de la Lumière, mène sa propre quête, obsédé par le désir de se venger de ceux qui, dix ans plus tôt, ont trahi son amitié en l’accusant de meurtre et en le laissant pour mort. Un périlleux chemin semé de combats et de rencontres le mènera à la Cité des Nuages, la capitale de la Lumière du Plan Primaire, où l’attend son destin, ainsi que celui de l’ensemble des Plans… 


Source résumé et image


Tome 1
Tome 2
Tome 3
Tome 4
Tome 5
Tome 6

Plus un tome supplémentaire pour Gheritarish

Histoire supplémentaire

Mon avis :
Une super série de Fantasy qui équivaut la série "La légende de Drizzt".
Des personnages attachants, des scènes de combats à couper le souffle, pas mal d'humour, une histoire captivante, un style très facile à lire, des scène de sexes à rallonge des scènes très prenantes, un héros beau comme un dieu (oui bon, ça va, je me l'imagine, et alors? On a le droit de fantasmer, non? Au pire, je me contenterais de la Boule de Poil!). Bref, une série qui a tout pour plaire et qui ravira les fan de ce style.
Seul bémol, faut attendre un à deux ans (voir plus puisque j'ai commencé la série que le tome 5 était déjà sortit) avant la sortie du prochain tome... C'est long!!!!!

mardi 18 octobre 2011

Le métal

vu par mes collègues.

Comme je l'ai dit récement, j'ai décidé de travailler en musique. Et comme je dois aller vite, je mets de la musique qui bouge.

Réaction de mes collègues donc par rapport au métal.

  • C'est comme les musiques de film d'horreur
  • C'est de la musique de facho
  • C'est de la musique de bourrins/barbares
  • C'est de la musique de fou
  • C'est de la merde
  • C'est de la musique de nazi
  • ça donne envie de vomir
  • ...


Décidément, le métal n'est pas apprécié dans mon rayon!

lundi 17 octobre 2011

Quand le Loup est à la maison...

C'est plus la même.

En ce moment, mon Loup est malade comme un chien (ha ha, subtil jeux de mots non voulut). Il est donc arrêté jusqu'à demain.
Et j'avoue que même si je suis contente qu'il soit là, je regrette un peu ma liberté de l'après-midi.

Déjà, il est de mauvais poil, à ronchonner pour un oui ou un non, gueuler sur un jeu ou sur les chats. Bref invivable.

Et puis c'est pas pareil quand il est là.

Déjà quand je rentre, je me pose comme une loque sur le canap', allume le PC et bouge plus pendant bien une heure, histoire de lire mes mails et les articles de blogueuse que je suis. Après, je me fais le manger (quand j'en ai envie, sinon c'est du rapide) et je me remets sur le canapé (en général pour dormir) pour ne plus en bouger jusqu'au soir (sauf si l'envie me prend de faire du ménage).

Mais quand il est là, je peux pas trop faire tout ça. Non pas qu'il m'en empêche, mais c'est juste que ça me gène un peu. Après tout, c'est mon indépendance de l'après-midi.

Et puis je ne suis pas habitué. Autant pour le vendredi et samedi, ça me dérange pas, qu'en pleine semaine si.

C'est con, hein?

Le froid

On dit que le froid conserve et raffermis les chaires.

Mouais.

Je dirais plus que ça rend malade et que ça fait capoter tout le corps.

Déjà, moi je bosse au froid, donc le froid ça me connaît.

Et je peux dire que non le froid ne conserve pas et s'il raffermit effectivement les chaires, c'est au prix d'une jolie teinte bleutée.

Non parce que bon, c'est pas comme si je me traînais un rhume depuis deux semaines sans que ça passe (forcément, je rattrape froid par dessus tellement on gèle dans ce rayon). Et c'est pas comme si ça aggravait l'état de mes muscles en lambeaux 'deuxième contracture musculaire, mais du côté droit cette fois).

Alors moi je dis, sus aux idées reçues!

vendredi 14 octobre 2011

Qui suis-je?

Grande question que tout le monde se pose.

Pour ma part, je suis une fille (femme?) de 25 ans. J'ai fait des études qui ne me servent pas à grand chose, je suis en couple depuis 6 ans, j'ai deux amies plus les potes au Loup. Point. Mais après?

Je ne sais pas qui je suis (mais le sait-on un jour?) réellement. Depuis toute gamine, je n'ai fait que m'adapter aux autres. Je suis comme ils veulent que je sois.
Joyeuse et exubérante pour mes parents, posée et un peu gamine pour mon Loup, garçon manqué un peu mal dans sa peau pour L, bourrine au boulot...

Pour ne pas être exclue, être différente, pour rentrée dans le moule, je me suis adapté à chacune des personnes que j'ai côtoyée, sans jamais me poser de question.

Et maintenant que je change un peu, je ne sais pas qui je suis. J'ai tellement de "personnalités" (je ne sais pas si on peut appeler ça comme ça, mais je prends le risque) différentes qu'au final je me suis perdue.

Mon Loup me demande d'âtre moi. Mais qu'est-ce que c'est qu'être moi? Suis-je la dépressive chronique? Le garçon manqué complètement bourrin? L'exubérante?
Sans doute un peu tout ça. Mais je ne sais pas. J'ai l'impression de jouer un rôle et non ma vie.

Oui c'est ça. Je joue un rôle devant chaque personne rencontrée. Et au final, je ne sais pas quel rôle est le miens.

J'avoue que ça me travail et que c'est pour ça que j'ai entrepris une thérapie.

Enfin bon, je ne dois pas être la seule à me poser ce genre de question.

jeudi 13 octobre 2011

Pertes

C'est affreux.

En ce moment, je perds tout. mais quand je dis tout c'est tout.

Il n'y a que ce que j'utilise tous les jours que je ne perds pas. Le reste, je sais pas où je le mets.

J'ai déjà perdu quatre bouquins neuf, même pas lu ni rien, certainement encore dans leur sac FNAC, cinq à dix tomes de mangas, des jeux PC, des bouquins déjà lu (mais que je voulais relire), des fringues... Bref, tout.

Enfin, je m'inquiéterais quand j'aurais perdu mes chats ou mon Loup;

Mais c'est chiant quand même

mercredi 12 octobre 2011

Engagement

Avec le Loup, on a pour idée de s'acheter un appart' ou une maison, selon ce qu'on trouve. J'avoue que ça ne me déplairait pas.

Mais voilà.

Qui dit achat dit crédit. Et sur 25 ou 30 ans minimum, vu les prix.

Et du coup, ça me fou une trouille bleue.

M'engager, comme ça, je sais pas, ça me terrifie.
Autant le mariage ou un louveteau, y'a pas de soucis, autant là...

Enfin, je sais pas moi, on s'en prends quand même pour 30 piges. Et qui sait ce qu'il peut arriver en 30 ans?
Et puis je sais pas, c'est long 30 ans.

C'est pas que j'aime pas le Loup, hein, j'ai pas dis ça. Mais voilà, j'ai la trouille. Je me sens pas prête du tout.

C'est pas que je me vois pas faire ma vie avec lui, mais je sais pas, y'a un truc qui cloche, qui fait que je veux pas j'ai peur.

Après tout, on est bien là, comme ça (même si l'appart' est pourris). Alors pourquoi changer?
Enfin, changer pour louer oui, mais pour acheter, c'est une autre histoire.

Et si on se sépare, ça va être la merde aussi (parce que oui, je pense toujours au cas où on se séparerait, c'est plus fort que moi), avec tous les papiers et tout.

donc, pour l'instant c'est repousser à au moins janvier, ce qui me soulage. mais le problème reviendra...

Automne

ça y est, je crois qu'on est en plein dedans là.

Temps gris et froid le matin, chaud et grand soleil l'après-midi. Un vrai temps à champignons je dirais!
Et les feuilles qui commencent à avoir de belles couleurs...

ça me plaît!

Photo prise hier

mardi 11 octobre 2011

Adulte?

On me dit souvent qu'être adulte, ça donne des responsabilité et tout (ça j'admets) et qu'il faut donc arrêté de rêvasser.

Et pourquoi ça?

C'est vrai quoi, "nous sommes tous de grands enfants" comme disait je sais plus qui.

Donc qu'est-ce qui nous empêche de rêver un peu? De croire en des choses?

Je sais que quand je dis que je crois aux elfes, aux fées, aux lutins, aux dragons, aux licornes, à toutes les créatures magiques et légendaires, on me prend pour une tarée.
Si je dis que j'aime bien regarder les formes dans les nuages, contempler la lune, les étoiles, me perdre dans le ciel bleu à m'imaginer volant sur un dragon, on me regarde avec de gros yeux.

Source


Certains adultes (je ne fait pas une généralité, mais bon, y'en a quand même pas mal) sont vraiment dans leur monde, et je trouve ça dommage.

Combien s'émerveillent encore devant un bon dessin animé? Combien regarde Peter Pan en se disant qu'ils aimeraient bien aller dans le monde imaginaire? Combien de femme adulte regardent Cendrillon ou Blanche-neige en rêvant qu'une prince charmant viendra les chercher sur son beau cheval blanc (bon OK, les mecs tous des salauds et si jamais y'en a un qui se pointe, faudra lui faire la bouffe, le ménage et une équipe de foot baveuse et gueulante)?

Non vraiment, s'il faut être coincé et étroit d'esprit, ne plus voir les choses qui nous faisaient rêvées quand on était gamins et arrêté de croire à tout ça, je dis non. Je ne veux pas être adulte s'il faut perdre tout ça.

Alors je continue de rêver, de croire à toutes ces choses. Et on verra ce que je deviens!

Et vous, vous y croyez encore?

La musique adoucit les moeurs

Et c'est bien vrai!

Bon, j'en ai un peu marre de raconter toujours les mêmes trucs sur le boulot, qu'on se prend le chou pour rien et tout.

Donc, comme j'en ai marre, je mets ma musique à moi qui sort de mon portable (à moi aussi) et en avant pour le boulot. Bosser en musique, y'a que ça de vrai!
Et comme le son va loin, tant pis si mes collègues aiment pas ma musique (Rammstein, Tryo et Noir Désir principalement) (on a pas le droit aux écouteurs, c'est dangereux).
N'empêche que depuis que j'ai repris le travail en musique, d'une je vais plus vite et de deux je suis moins énervée (ce qui peut servir, vous en conviendrez).

Et c'est ainsi que je vais continuer sur cette voie là,

dimanche 9 octobre 2011

Petit chose



On a tous nos intérieurs, nos petits choses.
Ce qui fait au fond de nous qu'on est tout d'même quelque chose :
Celui qui gratte ou qui s'titille,
Celui qui dort ou qui s'rabille
Le petit chose au fond d'son âme
Qui nous comprend ou qui s'pavane !
Arrête toi et viens avec moi prendre un verre !
On va parler tu vas me dire et me défaire
Les nœuds rusés que tu as semés
Mauvaises orties bien plantées !
Allez rentrons dans notre labyrinthe !
Viens ! J'ai besoin d'aide !
Je te connais, je sais, tu viens de ma famille
Je te vois dans les yeux de maman quand ils brillent.
S'ils avaient dénoué le nœud,
La chose ne serait plus dans mes yeux.
C'est incroyable de se sentir
Passer la main vers l'avenir !

On a tous nos intérieurs, nos petits choses.
Ce qui fait qu'une lutte peut être quelque chose.
Souvent je m'attendais moi-même
Me disant il faut que tu viennes !
Il faut que tu viennes de toi-même tu sais,
J'ai autre chose à faire !
Alors je t'évacue, d'un geste de la main,
Te ramène à la porte, te montre le chemin.
Mais tu es revenu à la chaîne !
Et je suis passé de la haine,
De la haine à l'indifférence, de l'indifférence à l'errance.
Et tu sais, le jour où la vie m'a lâché,
J'ai senti sa présence, il m'a raccompagné...
J'ai compris c'était pour la prochaine,
Que dans l'autre vie j'emporterai mon problème
Je me souviens de cette fille
Qui apprenait à me dire "je t'aime" !

Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes
Qui voudraient jamais revenir
De peur hélas de reproduire,
De reproduire la même chose leur seul exemple sur la terre !
Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes
Qui voudraient jamais revenir
De peur hélas de reproduire,
De reproduire la même chose leur seul exemple sur la terre !
Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes.
Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes
Qui voudraient jamais revenir
De peur hélas de reproduire,
De reproduire la même chose !

samedi 8 octobre 2011

Rétrogaming


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Pour faire un post un peu plus sympathique que celui de cet après-midi, je vais vous parler d'un jeu qui a changer le court de notre enfance. Et qui continue encore à notre époque.

Je veux parler bien sur des Pokémon!

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J'était au collège (ou fin de primaire, je sais plus) quand j'ai découvert ces créatures mimis comme tout.

Je peux vous dire qu'à l'époque ça a été la révolution! Les écoles voulaient plus des cartes dans leur établissement car il y avait vol et bastonnage pour elles. Pas de Gameboy non plus.

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Bien évidement, je n'ai pas échappé à cette mode.

J'ai donc fait la version Rouge, Jaune et Argent. J'aurais aimé continué, mais j'avais pas les sous pour acheter la Gameboy Advence.

N'empêche que je connaissais les 151 (à l'époque, là je sais pas à combien ils sont) pokémon par coeur! Et je pouvais les réciter dans l'ordre du pokédex sans me tromper!

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Je suis retombée dessus quand j'ai remis la main sur ma Gameboy Color. Et je dois avoué que j'y ai rejoué avec plaisir! Mais bon, le temps a passé et la cartouche est morte.

Grâce à la DS de ma mère, j'ai pu rejouer à la version argent remasterisée, si je puis dire. Et ben j'ai été déçue. C'est vraiment pas la même ambiance que dans sa version première du nom.

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Mais grâce à un collègue, j'ai trouvé un site (RomStation) qui regroupe tous les jeux sur les Gameboy, PS1, GameCube, Nitendo64, Nes et autres vielles machines. Du coup, je me suis amusée à reprendre la première version de Pokémon Argent (et Or puis qu'il faut les deux pour avoir tous les pokémons). Et j'ai pas honte de dire que je m'amuse bien (et puis c'est la dernière version où on pouvait triché du coup j'ai les trois pokémons du début!).

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J'ai aussi testé Pokémon Stadium (ouais, bof) et Pokémon Donjon Mystère (à chier).

N'empêche, ça fait vachement longtemps que ça existe! 15 ans quand même! Toute ma jeunesse!

Donc voilà, un peu de nostalgie ce soir.

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Et vous, vous y avez joué?

Sale

Je suis sale.

Voilà, c'est dit.

Enfin sale pas dans le sens crade, juste sale en dedans. Noire, ténébreuse, laide.

Oui, voilà, laide à l'intérieur. Laide, immonde, horrible.

Pourquoi?

Parce que dans ma tête, ça va pas. ça va même pas du tout.

J'ai des idées, des pensées qui me font peurs, qui me terrifies.
Et pourtant, je m'en réjouie, je m'en amuse. Et quelques fois, ça me fait rire.

Ce qu'il y a dans ma tête?

Des pensées noires, sombres.

Je m'imagine les pires tortures, les pires meurtres que je pourrais faire. J'imagine mes "victimes" à l'agonies, mortes, torturées, le visage déformé par la douleur.
Je m'imagine des viols, toutes les sévices sexuelles possibles et inimaginables. Sur des femmes et des hommes, peut importe.
J'imagine comment faire souffrir psychologiquement les personnes, leur faire le plus de mal possible sans les toucher.

J'ai une "méthode" très clair dans ma tête. D'abord la torture psychologique, après la physique et enfin la mort.

Je sais que je peux passer à l'acte. Je l'ai déjà fait deux fois.

La première fois, j'était au lycée, en seconde je crois. Un mec que j'aimais pas m'a poussé à bout. Je me suis énervée et je lui ai éclaté la tête dans le mur en l'étranglant. Des filles sont arrivées et m'ont arrêté.
Toujours au lycée. En terminale cette fois. Une fille avec qui je traînais me cherchait. Je l'aimais bien et tout, mais je l'ai plaqué contre une rambarde d'escalier et je l'ai aussi étranglé. J'étais comme dans un état second. On m'a arrêté quand elle est devenue toute rouge/bleue.

J'ai peur. J'avoue que je me fait peur.
Je me sais capable de passer à l'acte si on me pousse à bout. Et je sais que sur l'instant, je m'en réjouirais. Après je sais pas. Mais sur l'instant, oui ça me ferait plaisir.

Je ne vous raconterais pas tout, c'est assez glauque.

Je n'ai pas recommencée depuis la deuxième fois. J'ai trop peur de moi, de ce que je pourrais réellement faire.

Et je me limite, me jugule, m'entrave quand je rentre dans une colère noire. Je me retiens, pense à autre chose. Parce que je sais que je pourrais recommencer. Et que je pourrais aller jusqu'au bout.

Je suis horrible.

vendredi 7 octobre 2011

D'où?

Une expression que j'entends souvent.

"D'où tu me parles comme ça?"
"D'où tu fais ça?"
"D'où ça te pose un problème?"
"..."

La liste est longue.

Alors déjà, c'est pas français.
Le "où" utilisé fait référence à un lieu (grâce à son accent sur le "u"). On peut bien sûre dire "D'où est-ce que tu m'appelles/me parle?" Mais pas "D'où tu me parles comme ça".
Ensuite, le "d'où" et le "comme ça" vont pas du tout ensemble. Je me vois mal demander "D'où est-ce que tu m'appelles comme ça?"
Enfin bref, passons sur la grammaire et la langue française.

Mais à chaque fois que j'entends cette/ces expressions je me marre toute seule.

Pourquoi?

Parce que j'ai toujours envie de répondre une connerie!
Par exemple à la question "D'où tu me parles comme ça?" J'ai envie de répondre
-En face de toi
-Du rayon
-Du Cameroun
-Des toilettes
-Du bureau du chef
-De la Tanzanie
-De mon T-shirt
-De ma bouche
....

Enfin de tout ce qui provient d'un lieu.

Bon j'avoue j'ai jamais osé vu que ça envenimerait la situation, mais des fois ça me chatouille la langue.

Vous ne passerez pas!

Et oui, me voilà à sortir cette phrase culte hier. Enfin, sortir, la dire dans ma tête parce que je suis pas sûre que les blaireaux avec qui je travaille comprennent.

Enfin bref, le sujet de cet article.

Donc comme je vous l'ai dit hier, j'étais pas au top de ma forme.
Et pour cause, mes règles (autrement appelées rouges, mickeys, anglais, ragnagna, choses, douloureuses, menstrues, fil rouges, rivière rouge, bolognaise et autres sobriquets du même type) ont décidé de se pointer avec une semaine et demis de retard. et comme elles étaient pas contentes d'avoir loupées leur débarquement, elles m'ont bien fait sentir qu'elles étaient de retour, plus prêtes que jamais.

Et donc, me voilà avec un mal de bide pas croyable, pliée en deux, sueurs, nausées et vertiges avec en prime une tête de déterrée. Sans compter sur la douleur qui se propage à tout le bas du dos et qui me réduit les intestins en bouille avec les désagrément que ça comporte.

Et encore, j'avais pris, dès les premières douleurs, mon coktail Molotov perso, c'est à dire un Dolipranne 1000 et deux Spasphon.
J'imagine même pas ce que ça aurait été si j'avais rien pris.

Et donc, c'est avec cette douleur sourde, lancinante, que je suis partie vaille que vaille au boulot. Oui, je suis une warrior (ou une masochiste, au choix).

Donc je commence à bosser tant bien que mal, en avertissant tout de même que je suis pas au top de ma forme.

Et là, c'est le drame comme dirait l'autre.

Je monte au moins trois fois aux toilettes en une demie-heure (non pas que j'ai pas eu envie d'y aller le reste de la journée, mais j'ai appris à me retenir), dont une pour vomir (et bon appétit si vous mangez).
Mais vaillante, je reste. La douleur est à deux doigts de me faire rentrer chez moi, mais au vu de tout le boulot, je me suis qu'il fallait au moins que je finisse mon rayon.

Donc je commence à mettre en rayon en maudissant ces foutues règles. C'est vrai quoi, j'était en repos mardi, elles auraient pas pu se pointer et me rendre malade ce jour là? Et bien non, c'est pas drôle sinon.

Et donc, je fais mes commande, avec cette douleur, violente parfois, toujours lancinante qui me plie en deux. Partant parfois en pics insoutenable, qui me laisse transie de douleur et dans l'incapacité de rester debout. Elle est toujours là, accompagne le moindre de mes geste, de mes pas. Je profite des courts moments d'accalmie pour souffler un peu, me reprendre, avant d'être de nouveau pliée en deux. Dans les meilleurs instants, elle pulse dans mon dos, mon bas ventre. Dans les pire, je tiens à peine debout.
J'ai mis presque trois quart d'heures pour faire mes commandes (contre un quart d'heure habituellement).

Et là, j'en ai eu marre. J'ai dit stop.

Tout en mettant mes yaourts en rayon, j'ai regardé la douleur droit dans les yeux (si tant est qu'elle ai des yeux) et j'ai dit : "Vous ne passerez pas!" et j'ai hurlé (toujours intérieurement) "ça suffit bordel!".

Et je me suis donc mise à penser à autre chose pour oublier la douleur.

On m'avait conseiller de me détendre le plus possible. Je veux bien, mais quand on a les intestins en vrac, vaut mieux pas se détendre! Et j'avais pas de bouillotte à me mettre sur le ventre. Et puis bon, bosser au froid ça aide pas non plus.

Le seul truc que j'ai trouvé c'est les tables de multiplication. ça m'a permis de voir que je suis une brêle en table de multiplication. A partir de la table de 6 je cale. Mais au moins, j'ai pu l'apprendre par coeur et je sais la réciter. Le mois prochain, je passerais à la table de 7!

Vers 8h30, la douleur commence à passer. J'ai gagné!

Je me suis réjouie un peu trop vite. J'ai eu une douleur lancinante toute la journée. J'ai quand même repris un Doliprane (1000 toujours) et 2 Spasphon à 9h, histoire de pouvoir tenir jusqu'à chez moi.

Mais la journée a été bien remplis et j'ai pas pu me reposer comme je voulais.

Je suis quand même fière de moi car j'ai réussi à tenir malgré ma furieuse envie de rentrer chez moi pour aller me rouler en boule sous la couette et dormir.

Donc Une fille comme les autres 1 - Douleur 0

jeudi 6 octobre 2011

Sans gêne

Pour changer, je reviens sur Mme S, ma collègue.

Même si pour l'instant on se supporte, on ne parle pas trop ensemble (sauf quand elle voulait que je soit enceinte. Et quand elle a su que non, oh magie, j'étais plus sa grande-copine-à-la-vie-à-la-mort). En gros, notre relation me fait penser à la réplique de Violette Beauregarde et Véruca Salt, dans Charlie et la Chocolaterie de Burton, quand elles entrent dans l'usine. Qui est donc
"Violette : Soyons amies
Véruca : Les meilleures du monde!"

Pour moi  c'est comme ça que je voit les choses. On se tire dans les pattes l'une l'autre et on s'apprécie moyen.

Mais comme je veux pas reproduire l'incident "chef, pas chef", je dis rien et je fais bien attention à ce que je dis.

Malgré tout, je l'observe attentivement et... Bordel, c'est une vrai peste!!

Déjà, chose que j'ai remarqué aujourd'hui, elle pointes pas ses pauses. Dans ma boite, on a le droit à 20 minutes de pause par jour, qu'on doit pointer. Et bien elle, non. Elle monte en pause, se lave les mains, va au toilette, fait son bordel, dépointe et ensuite seulement elle va en pause (20 minutes donc) avec nous (qui lui sont donc payées). J'avoue que j'hésite à le signaler (comme d'autres l'ont déjà fait), mais ça m'apporterait rien, donc j'en fait rien. Mais j'avoue que ça me fou les glandes.

Deuxième chose que j'ai vu hier, elle vole. Oui oui, elle vole. En gros elle fouille dans le bureau/placard et nos bannettes de notre rayon et prend ce qui lui fait envie. Elle est donc déjà repartit avec quatre sacs isothermes (me demandez pas ce quelle va faire de tout ça), stylos (qu'elle n'hésite pas à nous prendre si elle le trouve beau, même si il nous appartient), tailles crayons, bonbons et autres. Et hier donc, on regardait un truc dans nos bannettes et un des garçons regardent s'il y a pas le truc qu'on cherche dans la bannette d'une collègue de l'après-midi (qui n'est pas là car elle a perdu sa mère). Et il dit "tiens, elle a une roulette à découper le beurre". Et S de répondre "Elle à quoi? Où ça?" de fouiller dans la bannette et pour finir de dire "ah ouais, mais ça m'intéresse pas" et de reprendre ses investigations. Elle a même fouillée dans la mienne mais j'ai mis le holà.
Donc amis, si tu viens traîner tes poils par ici, ne laisse rien de valeur car tu ne le retrouveras plus.
Eh oui, ils regardent aussi les feuilles de paies (ils vont pas jusqu'à ouvrir l'enveloppe, mais il suffit de l'ouvrir, regarder et reposer le tout en attendant la fin de la journée et ni vu ni connus) et les documents confidentiels.

Troisième chose, elle est infecte avec les gens. L'autre fois on avait des courses à faire et donc on les a faites ensembles. Et horreur. Une dame nous interpelle (on est encore en tenue parce qu'on se change pas dans les vestiaires) pour savoir où était je sais plus quoi. et comme on refait le magasin, les clients se perdent un peu. Donc S l'envoie chier en lui disant qu'on bosse plus. La pauvre dame était toute perdue et commençait à râler parce que "entre les uns qui savent pas et ceux qui bossent plus, c'est n'importe quoi". Du coup je lui ai demandé ce qu'elle cherchait et lui ai indiqué où le trouver. Ensuite, elle va pour acheter de la viande. Un éleveur veut lui parler de son métier, de ses vaches et comment c'est fait la viande, la vraie, qui vient de la région (mais sans aucune volonté de lui faire acheter, juste pour informer). J'ai hallucinée sur le comment elle a remballé ce pauvre gars qui avait l'air sympathique. Je sais plus exactement ce qu'elle lui a dit, mais en gros pour elle c'était un gros bouseux qui en voulaient à son argent. Alors que pas du tout.

Pas plus tard que tout à l'heure, elle refusait de me parler parce qu'elle était énervée alors qu'elle rigolait avec M. Et puis comme d'hab', je suis restée dans mon coin tout le temps du boulot, les deux ensembles. Elle m'a aussi envoyé à l'opposé du magasin pour aller mettre deux trucs en rayons et quand je suis revenue, elle m'a dit de rentrer chez moi. Et vu le boulot qu'ils avaient encore à faire, ils ont du finir à pas d'heure, vu que je suis déjà partit à 11h15.
J'ai comme le sentiment d'être exclue, là (et ils osent me dire qu'on est une équipe!).

Je m'en fou (bon, peut-être pas tant que ça), mais j'ai vraiment hâte de partir de ce rayon. Vraiment. Marre de cette équipe de merde.

Rencontres sur le chemin de la poste

Donc comme je vous l'ai déjà dit, hier je suis allée à la Poste. Hormis l'aventure incroyable de la lettre max, j'ai fait deux rencontres.

Oh, je vous préviens, hein, rien de sexuel, de pervers ou de violent. Non, rien de tout ça.

Donc rencontre numéro un.

Je marchais en direction de la Poste, sur le trottoir (je suis une fille civilisée, même si on dirait pas des fois). Et une dame âgée, étrangère, m'interpelle.
"Excusez-moi, madame ou monsieur, je sais pas".
Euh... Oui? Enfin quoi, c'est mon treillis noir tout crade de yaourt, mon T-Shirt dragon, mes pompes de sécu (qui ont jamais vu une éponge) et mon chignon qui vous perturbent ou quoi?
Enfin quoi, j'ai pas la tronche d'un homme non plus! Bon, j'ai l'allure et la démarche, mais quand même! Pis j'étais pressée. Donc ça compte pas.
Au final elle voulait un magasin de pièces détachées pour son robot.

Deuxième rencontre.

Concentrée sur ma Lettre Max, je vois un homme qui s'énerve à la photocopieuse. Il m'interpelle.
"Excusez-moi monsieur... oups pardon, madame
-Non non, ça fait juste la deuxième fois de la journée".
Mais bordel, ils savent pas ouvrir les yeux ou quoi? La dernière fois qu'on m'a confondue comme ça, j'étais au collège et j'avais une coupe à la garçon (comprenez, à peine 5cm sur le crâne).
Non mais sérieux, qu'est-ce que j'ai quoi? Soit ils le font exprès, soit ils ont de la peau de saucisson devant les yeux ou soit c'est moi qui cloche.

J'vous en mettrais des "monsieur" moi!

Mais je me suis pas énervée. Pas du tout, même pas un peu.

Les savons

Dans l'article précédant, je vous ai dit que j'avais fait des savons. Il me semble utile de vous donner les recettes, le procédé et les astuces si jamais vous voulez vous lancez dans cette grande aventure.

Pour commencer, j'ai utilisé la base Melt & Pour d'Aroma-Zone (oui, je ne suis pas une warrior qui fait elle-même sa base savonneuse). J'ai pris la blanche à la chèvre (je crois) et la transparente
Pour les couleurs, j'ai pris des colorants cosmétiques naturels (oxydes rouge/bleu/marron/jaune, du caramel bio en poudre, de la chlorophyle, de l'ocre rouge de Provence et Terre noire des Indes) pour mettre un peu de couleur.
Pour les parfums, j'ai utilisé des extraits aromatiques (cacao, caramel, mangue, fruits de la passion, pain d'épice, abricot, pêche, ananas).

Après c'est tout simple.

  • Donc faites chauffer au bain marie la base savonneuse.
Je vous conseillerais de la couper en tranche (avec un couteau ça va très bien) afin de ne pas tout faire fondre d'un coup et de se retrouver avec un pain complet à faire.

Pendant que le morceau fond, je vous conseille de prendre un autre récipient qui pourrait contenir le savon fondus. ça vous évitera de faire le savon entier d'une seule façon.

  • Dans ce récipient, mettre les colorants (si vous le voulez, hein, c'est pas une obligation). Une fois le savon fondu, le mettre dans ce même récipient et bien mélanger pour homogénéiser le tout.
  • Une fois fait, vous pouvez ajouter (ou pas) les extraits (en général, selon la dose que j'ai faite fondre, je mets entre 15 et 30 gouttes. Mélangez bien à nouveau.

ATTENTION : il se peut que le savon durcisse un peu pendant votre phase de mélange. Placez le récipient dans l'eau ou au dessus quelques instants et il devrait fondre à nouveau.

  • Ensuite coulez le mélange dans un moule et attendez qu'il durcisse (je les mets au frigo, ça va plus vite).
  • Démoulez une fois durcit.
  • Et voilà , vous avez votre savon!

En image, ça donne ça (par contre, je n'ai pas notés les couleurs ni les extraits utilisés)

Ma première palette de savon de cette fournée
Dans les deux blocs rose et le bleu, j'ai caché un bonhomme (on en vois des petit bouts d'ailleurs). C'était mes essais pour le cadeau. Comme j'ai vu que ça a foiré, j'ai mis le fond transparent. Je retrouverais les bonhommes en me lavant!

Bonhommes en savon transparent
A la lumière
A la lumière
Tartelette
Nounours à la chlorophyle (j'en ai fait un noir aussi)
Si vous commencez à maîtriser un peu le procédé, vous pouvez faire un savon de plusieurs couleurs différentes (c'est mon premier essais donc je peux m'améliorer!)


Nounours trois couleurs
Et des fois, on obtient un beau résultat sans même le faire exprès!
Etoile pigmentée
Sur celui-là, je pense que j'ai pas assez touillé le savon.

Donc je me suis bien amusée à faire tous ces savons. J'ai quand même passé deux pains de 450g! Reste à savoir quoi faire de tout ça!


J'espère que cette petite séance cuisine vous aura plus.

mercredi 5 octobre 2011

Cadeaux d'halloween

Oui, j'adore faire des cadeaux. C'est pour ça que je participe aux rondes sur le forum où je vais.

(Une ronde, c'est en fait un échange de cadeaux entre participants, tirés au sort, sur un thème donné)

Et donc, ce genre de truc me permets de laisser libre court à mon imagination.

Donc le thème de cette ronde était Halloween, le 31 approchant à grand pas.

J'avoue que j'ai eu du mal à trouver pour celle-là. Et oui, cette année il semblerait que les magasins ne veulent pas faire Halloween cette année. Donc j'ai du me débrouiller par moi-même comme une grande. Et j'avoue que je me suis pas mal démerdé et je suis fière de moi.

Donc dans cette ronde, on doit envoyer un cadeau, une douceur (ça peut être mangeable ou non) et une carte. Voilà ce que j'ai fait.

C'est une boite avec des merdouilles dedans (mais pas de bonbon parce qu'il y en a pas en forme d'araignée, de chauve-souris, sorcière et autre en ce moment et que ma cible est végétarienne et du coup je sais pas si elle en mange), dont deux jouets qui m'ont fait tripé, deux savons, une carte et du thé (qui ne figure pas sur les photos)

Voilà en image ce que ça donne
Le dessus de la boite (le dessin n'est pas de moi)

Intérieur de la boite avec les jouets

La carte acheté à Loisir et Création

Premier savon

Deuxième savon
Bon, les photos ne rendent pas bien, mais c'est deux petits savons en forme de bonhomme (un qui est fâché avec un pansement sur la tête et l'autre qui cris) enfermés dans un savon transparent qui représente un cercueil (mais je les ai pas taillé de peur de les abîmer et surtout j'avais plus de base de savon).

Le final
Pour le thé, je vais le mettre à la place de l'araignée.


Pour la réalisation c'est assez simple (mais super chiant!) à  faire.
Toute la boite (sauf l'image que j'ai scotché derrière le couvercle) est décorée avec du Décopatch. Depuis le temps que ça me faisait de l'oeil, j'ai enfin pu tester!

Le Décopatch c'est des feuilles qu'on déchire en morceau plus ou moins gros avant de les coller sur une forme  en papier mâché. C'est vraiment sympa à faire car chaque résultat sera différent!

Bref, pour le tour de la boite ça a été à peu près, mais pour l'intérieur... C'était pas la même chose! Là où j'ai bien galéré, c'est pour les pointes des triangles et les angles. Une horreur! J'ai mis plus d'une demis journée pour la faire, mais je suis contente du résultat.

Le paquet est donc près à être envoyé, si j'arrive à mettre le bordereau dessus

Une fille comme les autres va à la Poste

Alors aujourd'hui, j'ai un livre à poster (pour une ronde sur un forum). Ah ah, c'te bonne blague.
Oui parce que moi et la Poste, on est un peu brouillée depuis qu'elle me perd la plus part de mes courriers. Enfin là j'ai un suivit, c'est déjà ça.

Donc je vais à la Poste qui, comme par hasard, se trouve être en travaux. Bon, il ya une porte dérobée quand même. Mais un monde!! J'ai bien attendue dix minutes.

Bref, je demande une enveloppe à bulle. Y'a pas les classique, juste les Colissimo qui coûtent tout de même 9€ et quelques! Donc j'opte pour une Lettre Max (ou un truc du genre). Je paie et file sur un endroit plat, histoire de pouvoir écrire l'adresse et monter le truc.

Et c'est là où je foire. Comment ça marche ce truc? Pourquoi y'a deux bouts? Et pourquoi c'est pas déjà monté, hein?

Me voilà donc perplexe devant cette chose. Au bout de quelques minutes d'intense réflexion, je réussis enfin à monter la chose.

Je mets donc le bouquin dans la mini boite, referme le truc et note l'adresse (en vérifiant six fois pour voir si je me suis pas planter).

Nouveau problème : Comment le faire entrer dans la boite jaune qui sert à déposer les lettres?
heureusement qu'il y a un gentil monsieur qui m'a aidé.

Oui je suis un boulet.

Mais j'ai fait pire quand même.

Une fois j'ai voulut envoyer un cadeau à L par Colissimo (les gros paquets donc).
Et je me suis retrouvée comme une poule devant un couteau.

Comment ça se monte ce truc?

Je l'ai tourné dans tous les sens, plié au moins six fois, sans trop comprendre comment ça fonctionne. Donc je vais voir une personne au guichet qui m'envoie gentiment chier en me disant de suivre les plis.
Je veux bien, mais bordel, je vois pas comment ça marche ce truc!!!

Bon, j'ai quand même réussis au bout d'une demis heure d'essais et à grand renfort de scotch. Et j'étais tellement perturbé que je me suis plantée dans l'adresse.

Et là je dois envoyer un colis d'ici fin de semaine. Mais pour pas passer pour une cruche (et pour pas payer une fortune), je vais recycler un carton! Mais je suis bloquée par le bordereau d'envois. Je vois pas comment on le colle ce truc sur le colis.

Oui, je ne suis pas douée avec les choses de la Poste!

mardi 4 octobre 2011

Page blanche

Depuis quelques jours, vous avez du constater une baisse de régularité de publication et d'article intéressant.

Me voilà malheureusement confrontée à l'enfer de la page blanche. A me demander, en regardant mon clavier d'un oeil torve, ce que je pourrais bien raconter d'intéressant.
Parce qu'en ce moment, y'a rien de bien palpitant dans ma vie (enfin, je vous prépare quand même une nouvelle rubrique pour demain), rien de bien intéressant.
Je me cantonne pour le moment à me lever le matin, bosser, me coucher l'après-midi, me lever, manger, aller me coucher le soir. Passionnant n'est-ce pas?

J'avoue quand même que c'est la première fois et ça me chagrine un peu, moi qui ai toujours pas mal d'imagination. Mais non, pas en ce moment.
Enfin bon, ça doit arrivé à toutes les blogueuses/blogueurs (des fois qu'il y ai des hommes qui passent par là) un jour ou l'autre.

Mais je vous promets que dès que ça reviens, vous en serez les premiers avertit!

Mes répliques cultes#2

Dogma :
Loki : "Le génocide de masse est une activité physique très intense et très exigeante"

Les rescapés du Survivor (par les créateurs du Donjon de Naheulbeuk, mais en moins bien) :
Capitaine : "Plutôt mourir que de mourir"

Léon :
Léon : "J'ai du boulot en retard. Et j'aime pas être en retard au boulot"

Le roi lion :
Simba : "Bec de banane est terrifié?
Zazou : Monsieur bec de banane, peluche!"

Fight club
"La première règle du Fight Club : Il est interdit de parler du Fight Club
La deuxième règle du Fight Club : Il est interdit de parler du Fight Club
La troisième règle du Fight Club : Il est interdit de parler du Fight Club
..."

Shrek :
Shrek : "Et t'es combien dans ton armure?"

Fruits Basket (en animé, mangas) :
Shiguré : "C'est pathétique mais pathologique, je patauge quand je mets la main à la pâte.... Je vous adore, vous êtes une bonne pâte!"

lundi 3 octobre 2011

Vive l'hivers, en "b" bémol majeur

Et bien boilà, bon prebier rhube de la saison.

J'abais oublié cobbent ça fait d'être aussi bal en point.
Oublié la joie de te rébeiller le batin en te prenant une bonne claque derrière les oreilles par la bigraine et un bout de fièbre.
D'utiliser une bonne partie de ta réserbe de mouchoir/sopalin en dix binutes (je t'explique pas à la fin de la journée) parce que tu fait le rebake du Bakenpis avec ton nez.
D'aboir continuellebent la tête dans le seau à sobnoler toute la journée.
D'aboir une tronche de déterrée à faire peur à un zombi.
Que quand t'arribe le batin, tout le bonde te fuit pour pas chopper ton rhube.
A ressembler à Bibundub avec tes six couches, tes gants et ton écharpe pour pas chopper encore plus froid.

Bibe l'hivers, ses rhube et ses grippes.

dimanche 2 octobre 2011

Cowboys et envahisseurs

source
Vu hier avec le Loup.
Et franchement, ça casse pas des briques. A part des effets spéciaux, y'a pas grand chose. C'ess juste du vu, du revu et du réchauffer mille fois.
Pas convaincus mais pas vraiment déçue vu qu'on s'attendait à un truc du genre.
A louer mais pas plus